BLACK WATERS †
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-55%
Le deal à ne pas rater :
Coffret d’outils – STANLEY – STMT0-74101 – 38 pièces – ...
21.99 € 49.04 €
Voir le deal


siriane ≾ malum discordiæ
Anonymous
Invité
Invité


26.04.20 13:05

Siriane Barish

L'amour est la sirène, entraînant le pêcheur qu'ensorcelle son chant, vers le sable sans fond.

crédit avatar : terpsykore.
groupe : chimère des océans, ses dents pointues et ses ongles acérés ne trompent en aucun cas sur sa nature de sirène.
âge apparente : pas une seule ride ne traverse son doux visage de poupon, si bien qu’on lui donne tout juste vingt-sept ans.
âge réel : si elle semble perdurer dans la fleur de l’âge, cela fait pourtant quatre-vingt-dix années qu’elle foule cette terre.
allégeance : sa loyauté ira toujours envers son espèce, mais plus encore envers sa famille car seuls comptent les liens du sang à ses yeux.
origines : si l’océan atlantique est son berceau, il coule dans ses veines du sang écossais hérité d’un père qu’elle n’a pas connu, mort pour qu’elle puisse naître.
situation sentimentale : un coeur noyé par le chagrin, des larmes tant de fois versées qu’elle s’interdit d’aimer, seuls les plaisirs de la chair comblent sa solitude.
orientation sexuelle : son espèce requiert qu’elle s’accouple avec un mâle humain, mais la belle n’est pas contre le plaisir qu'offrent des courbes féminines de temps à autres.
quartier : un manoir qui semble inhabité depuis des générations dans le quartier bogside, voilà où on peut la trouver.
arrivée à Black Waters : la voilà de retour après des années sans y avoir mis une nageoire, afin de retrouver les siens.
theme song : summertime sadness — lana del rey.
avatar :
Code:
--><div><b>marie-ange casta</b> //  siriane barish // <a href="#">profil</a></div><!--

Caractère

J A L O U S E ≾ La jalousie est un sombre poison qui court dans les veines de Siriane et l’aveugle. Il broie son coeur jusqu’à ce qu’il ne soit plus que cendres et la pousse à commettre les pires horreurs tant la douleur qu’il provoque en elle est vive.

S E N S I B L E ≾ S’il est bien en elle une faiblesse qu’elle essaye d’ignorer, c’est sa grande sensibilité. La maîtrise de ses émotions est son plus grand combat, car même la plus sombre des âmes ne peut lutter contre ses sentiments.

R A N C U N I È R E ≾ La rancune est une morsure qui s’accroche et dont la belle a du mal à se débarrasser. A ses yeux, le pardon est l’arme du faible tandis que la rancune forge le caractère.

L O Y A L E ≾ Bien des reproches peuvent lui être adressés, mais s’il est bien une qualité qui la démarque, c’est sans nul doute sa loyauté. Ceux qui la gagnent peuvent se venter de l’avoir à leurs côtés jusqu’à sa mort.

I M P U L S I V E ≾ La douceur de ses traits et son calme apparent cache en réalité un tourbillon d’émotions prêt à se déverser sur le monde à tout moment. Siriane est un orage qui éclate en dévastant tout sur son passage.

P E R F I D E ≾ Aussi belle que sournoise, elle excelle dans l’art de tromper son monde pour obtenir ce qu’elle désire. Ne vous fiez pas à son air angélique, elle est aussi venimeuse que la mort. Après tout, c'est dans sa nature.


Particularités

Amoureuse des livres ≾ Le seul amour qu’elle s’autorise, c’est celui de la littérature. L’odeur des pages d’un livre lui procure un sentiment de réconfort immense et sa bibliothèque est son trésor le plus précieux. Elle ne peut d’ailleurs pas sortir sans avoir au moins un livre dans son sac à main.

Amoureuse des langues ≾ En quatre-vingt-dix ans d’existence, Siriane a eu le temps de devenir polyglotte. Elle aime la poésie du français, la mélodie de l’italien, mais aussi la dureté de l’allemand.

Amoureuse d'Histoire ≾ Véritable férue d’histoire, Siriane aime explorer le passé sous toutes ses formes et voyager au travers des époques. Elle aime connaître les petits détails qui ont marqué le temps, l’existence d’un peuple ou qui ont fait basculer une décennie.

past life

à l'aurore je suis née, baptisée de rosée
St. Andrews, Ecosse, 5 juillet 1939. Le soleil est haut dans le ciel bleu, il n’y a pas l’ombre d’un nuage. C’est une journée parfaite parce que sa mère lui a fait un cadeau particulier pour ses dix ans, elle l’a autorisé à jouer avec les humains. C’est un cadeau spécial car, d’habitude, Siriane n’a pas le droit de les fréquenter. Mère dit que c’est pour sa sécurité, elle dit aussi que les humains sont foncièrement méchants et qu’il ne sert à rien de s’enticher d’eux. Mais la petite fille n’écoute pas, elle veut absolument se faire des amis sur la terre ferme, elle veut être normale. « Pourquoi vouloir être normale alors que tu es extraordinaire ? » Mère ne comprend pas qu’être extraordinaire et seule n’a aucun intérêt, Siriane veut être normale et aimée.

Il fait chaud et les enfants jouent au bord de l’étang sous la surveillance de leurs parents. Siriane est heureuse de son cadeau, c’est le plus beau jour de sa vie. Elle court et rit au milieu des bambins de son âge, elle a dix ans et elle a des amis. C’est tout ce qu’elle veut, des amis qui l’aiment, qui la trouvent normale. « Viens voir Siriane ! Vite ! » Elle s’éloigne du groupe pour rejoindre un garçon à peine plus âgé qu’elle. Il l’attrape par la main et l’entraîne encore plus loin, de sorte que personne ne puisse les voir. « Regardes ce que j’ai attrapé ! Je vais lui tordre le cou et le ramener chez moi pour dîner, comme un homme, un vrai ! » Il s’écarte et elle voit un canard dont la patte semble cassée, ce qui explique qu’il ne puisse pas s’enfuir. « Il est blessé, il faut le soigner afin qu’il puisse retrouver sa famille. » Le garçon la regarde comme si elle venait de parler dans une langue qui lui était complètement étrangère. Puis, dans un geste aussi rapide que l’éclair, il attrape le cou du canard qu’il commence à serrer. « Non ! Je suis un guerrier et les guerriers ramènent à manger ! » Sans réfléchir, Siriane se jette sur lui et commence à le marteler de coups de poings et de coups de pieds jusqu’à ce qu’il lâche la pauvre bête. Il est plus grand qu’elle d’au moins deux têtes, il est aussi bien plus fort, après tout c’est un garçon. Sans même comprendre comment, il se retrouve au-dessus d’elle, les mains autour de son cou. « En passant dans un petit bois où le coucou chantait, où le coucou chantait… » Les mains du garçon se resserrent autour de sa gorge et elle a de plus en plus de mal à respirer. Elle essaye de se dégager de sa prise, mais il est beaucoup trop fort et son poids la bloque au sol. « Dans son joli chant il disait : “ coucou, coucou, coucou, coucou ”… » Ses poumons commencent dangereusement à brûler, elle sent l’air lui échapper à chaque seconde qui passe et des milliers de lumières dansent devant ses yeux. « Et moi je croyais qu’il disait : “ cass’-lui le cou, cass’-lui le cou ”… » Elle va mourir, elle le sent. Du haut de ses dix ans, elle sait ce qu’est la mort et qu’on ne se réveille pas une fois qu’on ferme les yeux pour l’éternité. Sa main se pose sur une pierre et, dans un ultime effort, elle l’abat violemment sur le crâne de son assaillant. Elle entend le bruit sourd de quelque chose de lourd qui tombe dans l’eau. Elle n’a pas besoin de regarder pour savoir de quoi il s’agit. Ou plutôt de qui.

Les étoiles cessent de briller devant ses yeux et elle reprend progressivement sa respiration. Elle tourne la tête vers la gauche et regarde le corps du garçon s’enfoncer dans l’étang. « En passant auprès d’un étang où les canards chantaient, où les canards chantaient… » La pierre ensanglantée est toujours nichée au creux de sa main droite, elle n’arrive pas à la lâcher. « Dans leur joli chant ils disaient : “ cancan, cancan, cancan, cancan ”… » Tant bien que mal, Siriane parvient à se relever, encore légèrement étourdie par le manque d’oxygène. Elle fixe l’endroit où le corps du garçon a coulé, la surface est lisse, comme si rien ne s’était passé quelques minutes plus tôt. « Et moi qui croyais qu’ils disaient : “ jett’-le dedans, jett’-le dedans ”. » Finalement, mère avait raison. Il ne faut pas s’enticher des humains.

je me suis épanouie, heureuse et amoureuse
Londres, Angleterre, 14 février 1956. Le poulet rôti est parfaitement doré et sent délicieusement bon. Une bouteille de vin français est disposée au centre de la table, c’est le préféré d’Henry. Voilà maintenant huit mois qu’ils se fréquentent et leur amour ne cesse de grandir de jour en jour. A vingt-sept ans, Siriane est sur le point d’épouser un Lord, du moins c’est ce qu’elle espère du plus profond de son être. Non pas car le titre d’Henry lui assurerait une certaine qualité de vie, bien que ce soit le cas, mais avant tout car il est son âme soeur, elle en est persuadée. Sa mère n’a de cesse de lui répéter qu’elle est naïve, elle lui demande de retourner en Irlande, mais Siriane ne peut se résoudre à quitter Henry. Elle sait que sa mère a tort, il lui répète constamment qu’il est fou d’elle et qu’elle est l’amour de sa vie, c’est bien la preuve qu’il compte en faire une Lady. Il fera sa demande ce soir, pour la Saint Valentin, elle en mettrait sa main à couper, c’est pour ça qu’elle a mis tout son coeur à préparer un si bon dîner.

Les heures passent et aucun signe d’Henry. Où est-il à une heure pareille ? Il lui avait pourtant assurer d’être à l’heure pour dîner. Des coups retentissent à la porte et Siriane s’empresse d’aller ouvrir. « Mais où diable étais-tu ? » Il rentre en titubant et dépose un baiser baveux sur ses lèvres, ce contact d’habitude agréable lui procure à cet instant du dégoût. « Bonsoir ma douce ! » Il empeste l’alcool et la cigarette, son regard semble à des milliers de kilomètres et c’est à peine s’il parvient à se tenir debout. « Henry es-tu ivre ? Je t’ai attendu toute la soirée, on devait dîner ensemble ! » Il ne semble pas l’écouter, ni même percevoir la peine dans sa voix. Le voir dans cet état la blesse profondément, son Lord si beau et si élégant ressemble à un ivrogne, son air hagard lui fait pitié. Sans même prendre la peine de lui répondre, il se dirige vers la cuisine et entreprend de déboucher la bouteille de vin. Il semble plus intéressé par cette dernière que par la femme aux yeux remplis de larmes qui se tient derrière lui. « Je… Je pensais que tu allais me faire ta demande en mariage ce soir. » Le silence s’installe dans la pièce, brisé quelques secondes plus tard par le rire tonitruant d’Henry. Un sentiment de honte immense envahit Siriane, elle ne comprend pas pourquoi il se moque d’elle aussi ouvertement, elle n’a pourtant rien dit de si drôle. « Oh ma chérie…tu croyais vraiment que moi, un Lord à l’avenir prometteur, j’allais épouser une fille comme toi ? Tu n’as rien, pas de nom, pas de titre, pas de fortune. » Ces mots lui font l’effet d’un coup de poignard en pleine coeur. Elle ne peut pas y croire, ce n’est pas son Henry qui est en train de parler, c’est l’ivrogne. « Tu as dit que j’étais l’amour de ta vie et qu’il ne se passerait pas un jour sans que tu sois à mes côtés… » Elle a du mal à reconnaître sa voix tellement celle-ci est brisée par le chagrin. Henry s’approche d’elle, la bouteille de vin toujours à la main. Il pousse un profond soupir, on dirait de l’ennui, et caresse la joue baignée de larmes de Siriane. « Sisi, trésor, un homme dirait n’importe quoi après un orgasme. Ne le prends pas mal, mais il est hors de question que je t’épouse. En vérité, je n’attends qu’une seule chose de toi… » Il la plaque contre le plan de travail de la cuisine et fait glisser ses mains le long de sa cuisse. Siriane tente de le repousser, mais l’ivrogne titubant qu’elle a fait entrer chez elle semble avoir retrouvé toute sa vigueur. Ses mains se font plus pressantes, avides de sentir la chair de la belle et elle tente de se débattre, mais il resserre son emprise. « Henry arrêtes je t’en prie ! » Il ne l’écoute pas, plus elle se débat et plus il l’emprisonne. Il dégrafe son pantalon et déchire la culotte de Siriane pour avoir accès à ce qu’il désire véritablement. Elle lui hurle de la lâcher, elle pleure et le supplie d’arrêter, mais on ne peut pas arrêter un monstre. « Henry pitié lâches-moi ! » Elle se débat la lionne, elle n’en peut plus de sentir son haleine alcoolisée contre sa peau et ses mains qui la touchent avec brusquerie. Elle pleure parce qu’elle sait ce qui est sur le point d’arriver. Elle pleure parce que son coeur est brisé. Sa main heurte la fourchette à rôti et sans réfléchir, avant que l’homme qu’elle aime parvienne à la détruire pour toujours, elle la saisie et lui enfonce dans la carotide. Henry la regarde sans comprendre, surpris par la violence du geste, avant de s’effondrer au sol. Tout est silencieux dans la pièce, comme si le temps venait de s’arrêter. Elle regarde le corps inerte à ses pieds et le sang qui se répand sur le carrelage. « Si je ne peux pas t’avoir mon cher Henry, personne d’autre ne t’aura ». Finalement, mère avait raison la concernant, elle est beaucoup trop naïve.

aux rayons du soleil, me suis fermée la nuit, me suis réveillée vieille
Black Waters, Irlande, 31 octobre 1979. Assise sur un banc, elle observe une petite fille aux longs cheveux bruns jouer dans le parc. Ses grands-parents la couvent d’un regard aimant qui éveille chez Siriane une jalousie viscérale. Personne ne l’a jamais regardé comme ça. Personne ne l’a jamais aimé comme si elle était la chose la plus précieuse dans cet univers. La petite fille rit aux éclats, elle semble heureuse et épanouie. Siriane devrait être heureuse pour elle, mais elle jalouse son bonheur, l’amour qu’on lui porte. Elle la méprise car cette enfant ne se rend pas compte du privilège qu’elle a d’être à ce point aimé et choyé. Elle ne se rend pas compte que, d’ici quelques années, elle perdra son innocence et que des choix cruciaux s’imposeront à elle. Comme c’est le cas aujourd’hui pour Siriane.

Etre une sirène a toujours été sa plus grande malédiction, son poids le plus lourd à porter. Pas d’attache, pas de futur amoureux possible et l’océan pour seule véritable maison. Passer cinquante ans de sa vie à fuir sa vraie nature n’aura fait que retarder l’inévitable, elle doit à présent prendre une décision qui marquera un tournant inévitable dans son existence : vieillir ou tuer. Cette pensée la hante depuis son anniversaire, elle savait que l’échéance allait vite arriver. Est-elle prête à prendre une vie humaine pour quelques années de jeunesse en plus ? A-t-elle le courage de tuer de sang froid un homme pour son propre profit ? Les émotions se bousculent et elle se sent perdre pied. Comble de l’ironie pour une sirène que de se noyer dans ses propres tourments. Elle pourrait être quelqu’un de bien et renoncer à ôter la vie. Après tout, elle n’a personne qui l’attend quelque part, personne ne l’aime autant que cette petite fille est aimée. Mais c’est bien là qu’est le problème, il y a cette petite fille et tous les autres. Elle ne peut pas les abandonner, elle doit être présente pour eux aussi longtemps que nécessaire. Siriane se lève du banc et jette un dernier regard à cette petite fille, cette soeur qu’elle méprise et qu’elle aime tout autant. « Oh Elysia, si tu savais ce que je m’apprête à faire pour veiller sur toi… » Elle se détourne et commence à marcher sans trop savoir où elle va. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle doit trouver un homme à tuer au fond de l’océan avant la tombée de la nuit. Ce ne sera pas si difficile parce que, après tout, les sirènes sont douées pour ça.

pourtant j'étais très belle, oui j'étais la plus belle
Aix-en-Provence, France, de nos jours. Elle scrute son reflet dans le miroir à la recherche d’une ride, d’une tâche, d’un signe qui prouverait que le temps la rattrape. Elle s’avance un peu plus près, mais le reflet reste inchangé. Sa peau est lisse, parfaite, ses seins sont rebondies et se tiennent comme par magie. Pas un seul cheveux blanc orne sa crinière brune. Malgré ses quatre-vingt-dix ans, le reflet du miroir lui renvoie l’image d’une jeune femme d’à peine vingt-sept ans. Siriane est une beauté parfaite, comme toutes les sirènes. Elle éblouit tous ceux qui croisent son chemin, si seulement ils savaient… Oui, s’ils savaient à quel point elle est hideuse quand elle prend sa véritable forme, dans les profondeurs de la mer. Elle regarde son reflet en penchant légèrement la tête sur le côté. Comment peut-elle être aussi belle et affreuse à la fois ? Sous son apparence humaine, elle est un pur fantasme. Mais lorsque sa nature profonde se révèle, elle représente leur pire cauchemar.

Siriane retourne dans la chambre aux couleurs provençales. Le sud de la France est vraiment l’endroit qu’elle préfère, bien qu’elle reste particulièrement attachée à ses racines anglosaxonnes. Elle se glisse dans les draps aux côtés d’une magnifique rousse qui gesticule à son contact. Siriane dépose de doux baisers sur sa nuque, tout en faisant glisser ses ongles le long de sa colonne vertébrale. Le gémissement qu’elle obtient en retour l’incite à poursuivre son excursion. « Marie, vilaine fille, tu n’es donc jamais rassasiée ? » La rouquine se retourne pour lui faire face et l’embrasse avec ardeur, mordillant au passage sa lèvre inférieure et caressant sa langue avec la sienne. « Jamais quand tu es près de moi Sisi. » L’étreinte se fait plus suave et le désir plus pressant. Leurs corps se pressent l’un contre l’autre dans un tourbillon de chair fiévreuses, de baisers passionnés et de caresses osées. Siriane a beau préférer la férocité des hommes, elle apprécie tout autant la douceur des femmes. Marie est une beauté absolue et la sirène prend plaisir à parcourir son corps entièrement nu. Elle est sur le point de lui donner ce qu’elle veut quand le portable de Siriane lui annonce un message. « Patience ma belle, je suis à toi dans une minute. » Elle ouvre le message écrit par son frère et un sourire illumine son visage. « De bonnes nouvelles ? » La belle repose son téléphone sur la table de chevet et se retourne pour déposer un baiser sur les lèvres pulpeuses de la française. « Excellentes même. » En effet, Elysia est rentrée à Black Waters, il est donc temps d’avoir une petite réunion de famille.
pseudonyme : absolem, parce que cette chenille bleue est définitivement trop classe. âge : vingt-quatre ans, j'approche dangereusement du quart de siècle. présence rp : peut-être pas tous les jours sinon mon homme va me quitter pour cause de négligence amoureuse, mais au moins trois fois par semaine. comment as-tu trouvé le forum : grâce à une publicité sur bazzart. que penses-tu du forum : oufissime, je passe ma vie à lire des bouquins fantastiques et là je tombe sur ce petit bijoux qui réunit absolument tous les univers que j'aime, je peux décidément mourir heureuse et comblée. un mot à ajouter : let's have fun babes 57
Anonymous
Invité
Invité


26.04.20 13:30
Bienvenue sur le forum chère sirène 23 22
Je ne connaissais pas la soeur de madame Casta What a Face
Bon courage pour ta fiche ! 29
Anonymous
Invité
Invité


26.04.20 13:35
SOEURETTE 38
Bienvenue ici et hâte que l'on voit ensemble tous les détails de notre lien siriane ≾ malum discordiæ 3445515404 Bon courage pour ta fiche et si tu as besoin las admins sont là pour toi et ma boîte à MP reste ouverte (même si tu le sais déjà 33 )
Anonymous
Invité
Invité


26.04.20 13:54
Merci bien monsieur le métamorphe (et puis Cole 38 ), c'est vrai que Marie-Ange n'est pas très connue, c'est bien dommage d'ailleurs...

Oh ma petite soeur, je compte bien t'harceler si besoin est, ne t'en fais pas pour ça 57 En espérant être à la hauteur de tes espérances siriane ≾ malum discordiæ 3445515404
admin - esclave du sang
Amelia Moriarty
Amelia Moriarty
admin - esclave du sang

Je suis arrivé(e) à Black Waters le : 26/05/2019 . Je suis un(e) : vampire sanguinaire . On me dit souvent que je ressemble à : nicola peltz . Je dois d'ailleurs remercier : kiddressources . J'ai transmis : 1013

Feuille de personnage
Artefacts:
Tolérance des mortels:
siriane ≾ malum discordiæ Left_bar_bleue100/100siriane ≾ malum discordiæ Empty_bar_bleue  (100/100)
Tolérance des cerbères:
siriane ≾ malum discordiæ Left_bar_bleue0/100siriane ≾ malum discordiæ Empty_bar_bleue  (0/100)
Tolérance des métamorphes:
siriane ≾ malum discordiæ Left_bar_bleue0/100siriane ≾ malum discordiæ Empty_bar_bleue  (0/100)
Tolérance des succubes/incubes:
siriane ≾ malum discordiæ Left_bar_bleue0/100siriane ≾ malum discordiæ Empty_bar_bleue  (0/100)
Tolérance des sorciers:
siriane ≾ malum discordiæ Left_bar_bleue0/100siriane ≾ malum discordiæ Empty_bar_bleue  (0/100)
Tolérance des loups-garous:
siriane ≾ malum discordiæ Left_bar_bleue0/100siriane ≾ malum discordiæ Empty_bar_bleue  (0/100)
Tolérance des vampires:
siriane ≾ malum discordiæ Left_bar_bleue60/100siriane ≾ malum discordiæ Empty_bar_bleue  (60/100)
26.04.20 15:02
Bienvenue parmi nous divine créature ! 22

Un joli visage qui ne m'est pas familier, contente de le découvrir. siriane ≾ malum discordiæ 1550603293 Tu as deux semaines pour compléter ta fiche, si tu as des questions n'hésite surtout pas. Smile Bonne rédaction !
Anonymous
Invité
Invité


26.04.20 15:14
Merci beaucoup, déesse sanguinaire 29

Je viendrai toquer à ta messagerie si je suis perdue, c'est promis siriane ≾ malum discordiæ 1397832758
admin - chien à trois têtes
Daevelyna I. Mora
Daevelyna I. Mora
admin - chien à trois têtes

Je suis arrivé(e) à Black Waters le : 01/06/2016 . Je suis un(e) : Créature mythologique . On me dit souvent que je ressemble à : Ana De Armas . Je dois d'ailleurs remercier : Panda . J'ai transmis : 1024
26.04.20 15:46
Bienvenue sur le forum charmante femme-poisson 23

J'ai bien hâte d'en découvrir d'avantage, mais pour le moment, bonne rédaction 143
Anonymous
Invité
Invité


26.04.20 15:53
Merci gardienne des enfers 58

J'espère vraiment que ma harpie des mers va te plaire 71
modo - entité du tartare
Valerya Romanoff
Valerya Romanoff
modo - entité du tartare

Je suis arrivé(e) à Black Waters le : 05/04/2020 . Je suis un(e) : Succube . On me dit souvent que je ressemble à : Katheryn Winnick . Je dois d'ailleurs remercier : twisty.rain . J'ai transmis : 714
26.04.20 17:46
Bienvenue parmi nous sur Black Waters petite sirène !!! 29
Anonymous
Invité
Invité


26.04.20 17:59
oulala
c'est magnifique ce que tu nous ponds, j'suis ébloui 62
hâte d'en voir davantage, très hâte siriane ≾ malum discordiæ 1397832758
ta sirène elle avive mon appétit
n'aie crainte, c'est pas le wendigo qui sommeille en moi qui parle. quoique siriane ≾ malum discordiæ 1397832758
Anonymous
Invité
Invité


26.04.20 17:59
@Siriane Barish OOoh amoureuse des livres aussi ! Elle va bien s'entendre avec Aiyanna ma louve qui est bibliothècaire et qui rêve d'ouvrir sa propre librairie 38
Anonymous
Invité
Invité


26.04.20 19:21
@Valerya Romanoff merci exquise créature 27

@Julius Reis wendigo ou pas, j'espère que tu es affamé car je compte bien te rassasier mon tout beau 66

@Kieran Jenkins un lien s'impose alors car la bibliothèque est la deuxième maison de Siriane siriane ≾ malum discordiæ 1397832758
Anonymous
Invité
Invité


26.04.20 19:40
Bienvenue par ici Very Happy
Je ne connaissais pas ton avatar mais la dame est zoulie ♥
Anonymous
Invité
Invité


26.04.20 19:45
Oh merci ma douce 70
Anonymous
Invité
Invité


27.04.20 1:29
et pour l'moment j'en suis régalé, alors on accélère la merveilleuse cadence
parce que le mister toony yé agréable  siriane ≾ malum discordiæ 1397832758
(ok j'fous la paix, toujours dans la hâte)  siriane ≾ malum discordiæ 1397832758
Anonymous
Invité
Invité


27.04.20 3:27
Tu me mets l'eau à la bouche mon joli 27
(eau à la bouche...sirène...okayyyy j'arrête les jeux de mots bidons et je retourne à ma fiche siriane ≾ malum discordiæ 3678181612 )
Anonymous
Invité
Invité


27.04.20 7:24
ouh un personnage qui envoie du lourd 27
bienvenue par ici
Anonymous
Invité
Invité


27.04.20 7:44
OMG MADELAINE CETTE BEAUTÉ PARFAITE 59 64

Merci joli coeur 27
Anonymous
Invité
Invité


27.04.20 10:30
Bienvenue 23 23
Anonymous
Invité
Invité


27.04.20 12:11
Merci jolie demoiselle 38
Anonymous
Invité
Invité


27.04.20 15:48
quel joli brin de sirène qui se profile parmi nous, bienvenue. siriane ≾ malum discordiæ 1153435287
admin - excommunié
Duncan O'Ceallaigh
Duncan O'Ceallaigh
admin - excommunié

Je suis arrivé(e) à Black Waters le : 14/04/2020 . Je suis un(e) : sorcier . On me dit souvent que je ressemble à : joel kinnaman . Je dois d'ailleurs remercier : bonnie + cendres. . J'ai transmis : 296
27.04.20 18:46

Tu es validé(e)

Bienvenue à Black Waters

Devant le grand Conseil tu es venu(e) et laisse-moi te dire une chose… L'âme de ton personnage entre désormais dans le monde de Black Waters. Les trompes chantent ta venue, comme si le paradis lui-même se présentait à toi, mais est-ce une bonne chose ? Tu le découvriras au cours de ton aventure dans les périples de cette ère nouvelle et nous espérons que tes choix influencent l'avenir tout comme le bon plaisir que nous aurions à te faire souffrir. 33

Tragique petite histoire ma belle Siriane 50 . Dommage de ne pas l'avoir vu se servir de ses capacités dans ton récit. Hâte de la voir dans le jeu, ça c'est sûr. J'apprécie énormément la qualité de ton personnage et les liens déjà mis en place. Bon jeu ma belle. 32

Première chose une fois validé(e), nous te demanderont de remplir entièrement ton profil avec le lien vers ta fiche et ensuite le lien vers ta fiche de liens. Avant le jeu, il faudra que tu t'arrêtes dans le bottin des âmes, afin de t'assurer que ta tête est bien inscrite sur le registre d'Hadès sinon tu risques de retrouver un jumeau indésirable. S'il est déjà là, merci de ne pas commenter dans le sujet. Afin de te garder saint d'esprit (enfin… on espère plutôt trouver ta folie 31 ) nous te conseillons de faire un tour pour te trouver un cercle social et te trouver un toit espèce de SDF ! N'oublie pas de t'inscrire dans le registre des métiers si tu souhaites survivre, sinon je mangerai à ta place… C'est mes fesses qui en seront des plus heureuses.

Nous te souhaitons une belle aventure parmi nous et au plaisir de retrouver ta plume dans la section rpg.
Anonymous
Invité
Invité


28.04.20 2:25
@Ewen Muirhead merci mon joli petit poisson 27

@Duncan O'Ceallaigh merci, merci, merciiiiiiiiiiiiiiii 58
C'est vrai que je n'ai pas osé parler de ses capacités, j'avais peur d'écrire des bêtises vu que j'ai plein de questions sur les pouvoirs des sirènes 50 Un petit tour à la foire aux questions s'impose !
admin - excommunié
Duncan O'Ceallaigh
Duncan O'Ceallaigh
admin - excommunié

Je suis arrivé(e) à Black Waters le : 14/04/2020 . Je suis un(e) : sorcier . On me dit souvent que je ressemble à : joel kinnaman . Je dois d'ailleurs remercier : bonnie + cendres. . J'ai transmis : 296
28.04.20 7:31
@Siriane Barish Il n'y a pas de soucis ma douce 32 ! Je dois t'avouer que moi-même en validant ta fiche, j'ai eu les même questions que toi, surtout concernant la force. siriane ≾ malum discordiæ 3678181612 Ton sujet a été amené au staff d'ailleurs, j'attend leur retour et je te répond. 65
Anonymous
Invité
Invité


28.04.20 7:39
Je voulais la jouer en mode déduction style " ok, une sirène doit être moins forte qu'un loup-garou, mais vu que c'est un être mythique, elle doit quand même pouvoir ratatiner un humain dans un combat " mais j'étais franchement pas sure de mon coup siriane ≾ malum discordiæ 3678181612

Du coup j'attends sagement votre retour mes petits chats 29
Contenu sponsorisé



Page 1 sur 1

Sauter vers: