BLACK WATERS †
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Anonymous
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13.04.20 23:23

J u l i u s Reis

Lorem ipsum dolor sit amet

crédit avatar : valruna.
groupe : wendigo
âge apparente : vielle trentaine, ch'veux blanc que lui fait cadeau la calamité qui perche en lui
âge réel : vingt-neuf piges
allégeance : lui-même. ce qu'il fut, ce qu'il veut retrouver
origines : irlandais
situation sentimentale : lien inconcevable. tout péri. tout c'qui se lie à lui de proche ou de loin
orientation sexuelle : l'sexe opposé, ressource unique et inépuisable de beauté qui fait naître en lui l'désir indicible
quartier : fitzwilliam.propriétaire d'une vielle maisonnette au milieu d'nulle part pour se sustenter dans l'ombre
arrivée à Black Waters : terre où il a fait ses premiers pas
theme song : far from home(the raven)
avatar :
Code:
--><div><b>Robert pattinson</b> //  Julius Reis// <a href="#">http://blackwaters.forumactif.com/profile?mode=editprofile</a></div><!--

Caractère

atrophie du cœur. la chaleur humaine elle est envolée, oubliée dans l’voyage d’un nuage sombre et évanescent après avoir mis à bout de souffle ce qu'il croyait naïvement infrangible. du jour au lendemain, cerné par le gravats d’une tombe qu’a craché le toit d’une mine souterraine,  il s’est éveillé monstre. prédateur, bête de chair. et humain grugé par la bête endormie. fureur rare qui le transporte, apparue le lendemain d’un néant abject. un vide le prend par les tripes depuis. en se levant, en se couchant. en respirant. un abandon. une pièce manquante au mécanisme qui fait ce qu’il est au noyau. il ressent sombrement l’organe introuvable qui fait de lui l’ombre de lui-même. les pulsions ravageuses sont maîtresses, insensibles aux brûlures infligées pour retrouver un semblant de prise en main, de domination. tissus fibreux et vains ancrés au torse. tracés comme un essaim d’étoiles filantes. se joignant les uns aux autres dans une magie inconnue mais lénifiante au reste. pour lui. accalmie qui le berce en se vouant à la souffrance forcée. il se meurtri malgré le capotage interne. la faire souffrir comme elle le fait. comme deux amants fêlés sur une balance, les deux songeant au mal qu’ils peuvent s’infliger pour mieux se tenir dressé. mais il demeure soumis, au bas de la balance. loin du trône qu’il occupait autrefois. où il repoussait toute forme de mauvais contrôle. dont la colère, l’impulsivité qui le poussent aujourd’hui à faire couler le sang dans la plus abominable des insouciances. devant la psyché, l’horreur est aussi espoir. il le sait – en se trompant - qu’un jour, il se maîtrisera à nouveau. aveuglement naïf. monstre, il restera. enflammé déjà trop vite, il explosera à la face de tous ceux qui se feront dissuasifs car il ne peut se résigner à s’éteindre. et il peut encore moins l’entendre. malgré destruction et souffrance qui se font boulets à ses chevilles. spirale infinie que forme ses péchés abominables et l’espoir qu’un jour il pourra exorciser la bête. solitaire, ermite dans sa tanière de sauvages. loin de ceux qui ont un jour compté pour lui. comme l’aquilon d’un hiver meurtrier, il secoue les âmes sur son chemin. les font trembler, s’enfoncer dans l’irréversible malgré l’revers lénifiant du ciel brut qui réchauffe, qui attrape. arnaque sournoisement en laissant percevoir la lumière fallacieusement salvatrice. il se tient à l’écart, étouffe malgré lui et sans conscience la dernière pépite d’humanité en lui. il n’est pas né pour l’obscurité. elle le mâche et le recrache. l’abîme toujours un peu plus. sa nature brouille les esprits. il veut avoir l’air bon alors qu’il est bête en cage, décidé à briser ses chaines pour réduire à néants tout ce qui lui tient à cœur. ils mordent à l’hameçon, croient en la lueur qu’il laisse malgré lui transparaître dans l’opacité, et lui, il les rejette dans la foule où il les a trouvés, souvent minables face à plus ample qu’eux .les rejeter dans la gueule d’un loup moins barbare pour les protéger de l’abominable qui sommeille en lui. de la seule chose dont ils ne pourront jamais se relever. seul. plus que la bête, c’est la malédiction la plus brute

Particularités

orfèvre en explosifs. en ceux qui glissaient de ses mains minutieuses pour réaliser les fragmentations désirées du roc sous la terre. sans erreur, dans un sublime procédé. béguin pour ceux qu’il amorçait avec passion, détonait toujours dans une synchro mélodieuse et addictive. du bonheur à l’état pur, volcanique. fanatique d’engins détonants - il sait sans avoir risqué - fabriquer ses propres collantes artisanales. ce qu’il garde enfoui, scellé. carte fatale à jouer en dernier recours. cicatrisation prompte, sans en avoir réellement quelque chose à cirer. plus qui arrange la bête plutôt que l’humain. qui trouve en les blessures sanglantes la sérénité dont il a besoin. toujours humain. pas que monstruosité. erreur de la nature. au creux de leur mine minable, il se livre à des duels contre wendigos sous forme fragile. paris et soif dans l’air. les jointures ne flanquent pas les volées les plus brutales, mais lorsqu’on le veut victime incassable de coups bas, les paris fuitent dans l’arène. parce qu'il sait en prendre. endurance de fer qui l’habite. alors que la rancune l’affaibli plus que tout châtiments et séquelles sanglantes. elle oppresse le myocarde et le pousse inévitablement au bordel.  s’il cumule les faux-pas, lui les assume car l’excuse est légitime. il en reste convaincu. et il n’en est rien de ceux qui trompent sans vergogne. son radar est infaillible. à part peut-être pour lui. claustrophobe. à effet imminent lorsqu’il se sent pris au piège. stress post-traumatique engendré par l’horreur vécu. la panique s’enlise autour du gosier, injecte irréversiblement son venin délétère dans ses veines. opium pour lui, adrénaline pour la créature.  si l’humain suffoque, l’instinct du wendigo dévaste le danger en se tirant du pétrin, et en fauchant toute vie fourrée sur son chemin

past life


Dans les ténèbres qui m’enserrent,
Noires comme un puits où l’on se noie,
Je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient,
Pour mon âme invincible et fière
jeunesse eurythmique. vécue en un rythme constant, féerique aux yeux du gosse témoin des regards brillants d’un couple comblé vivant chaque jour comme si la prochaine seconde se dissoudrait dans l’acide d’une infortune bestiale, imprévisible. parfois plus fragile, la vie est faite de fausses notes. elle perturbe, plombe la véhémence d’une émotion riche qui emporte le séduit de nuage en petits nuages. au chapitre final d’histoires fantastiques que lui lisaient les narrateurs aimants au pied d’son lit avant les songes, les fins heureuses finissaient misérables, et les fins misérables aboutissaient en joie. parce que l’on n’est jamais à l’abri d’une vague de drames après la tempête et jamais indéfiniment paralysé par la foudre. sans pour autant ne plus être susceptible d’en être encore la proie. encore et encore malgré l’amour que l’on offre au monde. l’enfant se souvient, comme un mantra, que tout dépend de lui. que son jeu n’est pas imposé  par l’ordre du ciel malgré les bombes destructrices qu’il amorce au cœur de l’innocence pour inspirer l’immensité de son impact indicible. et malgré l’sacro-saint des errements droits, rien garantie l’immunité. tout dépend de la vision. de ce qu’il veut être. rien n’est voué à l’échec, tant que l'dessein n'est pas plié et enterré

de lumière, d’espoir. c’est ce dont il est façonné le gosse, depuis son premier souffle. il se sent tout puissant, avale les mêmes paroles qu’on lui confesse depuis la fin de chaque récit. invincible, tant qu’il se veut maître. tant qu’il est conscient du pouvoir, du jeu qu’il possède. l’obstacle est guéable. sans devoir plonger la tête en dessous de l’eau. aux risques d’se noyer. du moins, c’est ce qu’il croyait. dans l’ignorance du monde qui l’entoure. du monde impitoyable où il n’est que pion oiseux au milieu d’un jeu où il y a plus grand que lui
Dans ce bagne terrestre où ne s’ouvre aucune aile,
Sans me plaindre, saignant, et tombant sur les mains,
Morne, épuisé, raillé par les forçats humains,
J’ai porté mon chaînon de la chaîne éternelle
la dynamite est où elle doit être fixée sur le roc. sublime et bénigne dans l’trou obscur qui les couplait. les unissait au même sort. fatale, ou féerique. de ses mains d’praticien , il avait tout mesuré jusqu’à la dernière défaillance. dans une passion qui échappe à toute comparaison. sans avoir délaissé l’moindre début de résonance qu’englobait santé et sécurité. et pourtant, tout s’est effondré au-dessus de sa tête. de leurs têtes. un manque d’entretien du toit. du chapeau de la mine d’or -en une seconde- muté en un odieux enfer où ils ont fini condamnés par l’égoïsme et l'avidité des diables. où l’seul but était de creuser des voies routières, des accès vers le butin tant convoité par les grosses têtes d’entreprise. ceux qu’ils en ont eu cure de leur vie. tant qu’ils voyaient l’éclat de leur or, les décès étaient brèches infimes au cœur d’un univers plus ample qu’eux. pions stratégiques des nombrilistes, sacrifiés sans vergogne pour sentir d'proche la victoire dégueulasse qui leur tourne déjà le sang. l’sanguin des tripes. au seul fantasme d'en voir la couleur. comme pré-pubères ignares. six millions pour leur palace, et misère pour les travailleurs acharnés, en danger constant, qui pourtant les préserves du déclin bancaire. trois d’entre eux se sont réveillés captifs d’une tombe où la survie s’est transformée en quelque chose de chimérique.  en un réconfort délibéré et faux pour apaiser la gueule ridiculement peinée d’une honte consumante qui ne lui appartenait même pas. il se croyait fautif de ce qui leur tombait dessus. de la mort imminente qui les attendait, les guettait comme requin en mer, prêt à croquer fatalement la chair sanguinolente à la moindre maigre houle d’abandon. limpide pour l'impulsion meurtrière. il ne pouvait se résoudre à laisser les deux condamnés à l’agonie sans remuer ciel et terre.  sauver leur peau plutôt que la sienne. il était prêt à tout, même à la ruine psychique. celle qui l’ronge aujourd’hui, dont il ne s’est jamais lamenté. tant qu’il n’aurait pas tout essayé, il avait espoir. les cartes, il croyait les avoir en main. il se voulait plus malin que la foudre.  mais l’un d’entre eux était condamné sous les pierres qui lui crevaient la circulation de la poitrine. et à sa mort imminente - passé de quelques jours – sous les yeux de l’affaibli qui se mourait de faim, il avait plongé sans pâlir les crocs dans la chaire putride.  pousser le dernier survivant à s’en repaître. de la peau pourrissante où les larves s’en régalaient déjà, comme un festin d’jour de l’an. pour survivre.dans la terreur d’voir le dernier s’éteindre. ignorant, à court d’échappatoire. manger la chair morte pour inciter l’autre à la survie.  qui pourtant ne l’a jamais suivi. il ne s’en est jamais senti froissé malgré la volonté effrénée, l’désir de sa survie. il lui avait offert la dernière tasse d’eau contenu dans la bouteille amaigrie, trop peu pour deux. en lui promettant les sauvetages escomptés.  sans qu’ils puissent arriver à eux à temps, puisqu'il avait consommé la chair infecte, porteuse d’une malédiction dont il ignorait l’existence. la créature, elle, s’est servie impitoyablement d’la chair encore vivante pour égoïstement se tirer du trou. sauvagerie répugnante qui depuis le tire de ses sommeils, dégoulinant de sueur. qui le fait disjoncter et sombrer dans c'qui excite l'oubli
J'ai fait ce que j'ai pu ; j'ai servi, j'ai veillé,
Et j'ai vu bien souvent qu'on riait de ma peine.
Je me suis étonné d'être un objet de haine,
Ayant beaucoup souffert et
beaucoup travaillé.
tragédie étouffée sous l’verre assassin de scandale. on l’a jamais retrouvé, le seul rescapé. on ne l’a jamais chassé non plus. jamais interrogé. le lendemain de la boucherie, d’un ragoût de peau putride et d’hémoglobine dont le roc était repeint en neuf, tout avait été décrassé et enterré. rien ne s’était passé à son réveil. il pensait l’horreur fruit du psychique endormi. il voulait y croire, le paralysé et flageolant de terreur. de toutes ses forces. la tête jobarde, affamée d’espoir confronté à une réalité trop sévère. mais y’avait cet éclair de clarté, de visions brutales qui lui sautaient à la gorge, qui l’sortaient de son fantasme apaisant. des bras aimants qui l’étreignaient, le soulageaient comme ceux qui offrent abri. il se souvient, du sang dans lequel il baignait. de l’hémoglobine qui suintait des lèvres, et de la chair arrachée que titillait la langue nécrophile dans sa gueule tremblante. des perles acides qui se creusaient tant bien que mal un chemin entre l’poison éclaboussé sur la figure épouvantée. la drogue dont il ne pourra jamais plus se passer. pour lui, il était temps de payer. de se rendre, et de dénoncer l’écroulement de la mine négligemment entretenue. malgré les rappels, les rapports directement mis sous l’nez des grosses têtes bornées. jamais possible, même menacé. les diables, ils veulent pas crouler en prison, être privés de leur trône d'or. complices de silence. de secrets qu'ils veulent étouffés, coûte que coûte. sur la table, la carotte ou le bâton. menacer d’coups fatals, ou tenter avec friandise. ruiner c’qui lui tient à cœur -détruire la vie de ceux qu’il aime - ou le faire nager dans l’opulence. il nage entre deux eaux, le ruiné mental, encore souffrant de l’horreur commis. il reste planté là, sans réponse. sans décision. en espérant voire tout se dissoudre sous ses yeux las. puis un jour il se réveille, argent en poche. des millions, là. affichés sur le compte. il se sent crade, merdique. impuissant. il a pas la force, ni la volonté de se battre. l’poids sur ses épaules est à peine soutenable. esclave du monde. écrasé, moribond sous tout c’qui se fait imposant et plus costaud. sa vie défile sous ses yeux, et lui, il se sent minable spectateur. babiole cocasse des maîtres. il est esseulé, dans son trou perdu. loin de l'humain, du mal qu'il peut leur faire. parce que même s'ils sont parfois diables, sont pas tous fondamentalement malveillants

Maintenant, mon regard ne s'ouvre qu'à demi ;
Je ne me tourne plus même quand on me nomme ;
Je suis plein de stupeur et d'ennui, comme un homme
Qui se lève avant l'aube et qui n'a pas dormi;









pseudonyme : bompeye âge : damn j’ai pu vingt ans présence rp : idk comment as-tu trouvé le forum : par l’une des fondatrices, miiwie la mimi que penses-tu du forum : amour inconditionnel qu’éveille le chef-d’œuvre, je vendrais mon âme pour sa prospérité. longue vie à la merveille pis clap infini aux muses qui ont inspiré la plume parasite (julius) 2155661163    un mot à ajouter : chekay boom
Anonymous
Invité
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14.04.20 2:21
Bienvenue sur le forum 29
Anonymous
Invité
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14.04.20 2:36
@Kieran Jenkins merci toi  parasite (julius) 1397832758
Anonymous
Invité
Invité


14.04.20 5:43
Bienvenueeeeeee 27

Pattinson en Wendigo ... j'approuve 36 Ça change du vampire 47

Bon courage pour ta fiche Wink
Anonymous
Invité
Invité


14.04.20 6:57
Bienvenue sur le forum ! Ton personnage promet d'être intéressant. J'avais hésité entre Wendigo et Cerbère à mon inscription Very Happy

Bon courage en tout cas pour ta fiche 30
admin - esclave du sang
Amelia Moriarty
Amelia Moriarty
admin - esclave du sang

Je suis arrivé(e) à Black Waters le : 26/05/2019 . Je suis un(e) : vampire sanguinaire . On me dit souvent que je ressemble à : nicola peltz . Je dois d'ailleurs remercier : kiddressources . J'ai transmis : 1013

Feuille de personnage
Artefacts:
Tolérance des mortels:
parasite (julius) Left_bar_bleue100/100parasite (julius) Empty_bar_bleue  (100/100)
Tolérance des cerbères:
parasite (julius) Left_bar_bleue0/100parasite (julius) Empty_bar_bleue  (0/100)
Tolérance des métamorphes:
parasite (julius) Left_bar_bleue0/100parasite (julius) Empty_bar_bleue  (0/100)
Tolérance des succubes/incubes:
parasite (julius) Left_bar_bleue0/100parasite (julius) Empty_bar_bleue  (0/100)
Tolérance des sorciers:
parasite (julius) Left_bar_bleue0/100parasite (julius) Empty_bar_bleue  (0/100)
Tolérance des loups-garous:
parasite (julius) Left_bar_bleue0/100parasite (julius) Empty_bar_bleue  (0/100)
Tolérance des vampires:
parasite (julius) Left_bar_bleue60/100parasite (julius) Empty_bar_bleue  (60/100)
14.04.20 8:37
Bienvenue parmi nous avec ce personnage de feu ! 58

Je suis tellement fan de Robert Pattinson depuis quelques temps avec son acting déjanté. Hâte de lire en entier ta fichette. Si tu as des questions, n'hésite pas à venir frapper à nos portes. 32
Anonymous
Invité
Invité


14.04.20 11:10
Bienvenue à toi beau wendigo ! What a Face
Anonymous
Invité
Invité


14.04.20 12:12
Bienvenue Juju What a Face
modo - entité du tartare
Valerya Romanoff
Valerya Romanoff
modo - entité du tartare

Je suis arrivé(e) à Black Waters le : 05/04/2020 . Je suis un(e) : Succube . On me dit souvent que je ressemble à : Katheryn Winnick . Je dois d'ailleurs remercier : twisty.rain . J'ai transmis : 714
15.04.20 19:44
Bienvenue sur Black Waters!!! 22
Anonymous
Invité
Invité


15.04.20 21:30
@Kate Miller merci parasite (julius) 1397832758 content que t'approuves, on en a eu assez du vampire constipé parasite (julius) 2155661163

@Amelia Moriarty t'es belle, et en plus t'as bon goût parasite (julius) 1397832758  depuis ses films indépendants, c'est un nouvel homme à mes yeux je l'aime

@Astoria Hywell merci  parasite (julius) 2155661163  cerbère ça en jette aussi  parasite (julius) 1397832758
@Arya Infascelli @Samantha Blackwood @Valerya Romanoff merci vous, trop fines  parasite (julius) 1397832758
Anonymous
Invité
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16.04.20 5:21
oooh oui, J'approuve X1000000
admin - chien à trois têtes
Daevelyna I. Mora
Daevelyna I. Mora
admin - chien à trois têtes

Je suis arrivé(e) à Black Waters le : 01/06/2016 . Je suis un(e) : Créature mythologique . On me dit souvent que je ressemble à : Ana De Armas . Je dois d'ailleurs remercier : Panda . J'ai transmis : 1024
16.04.20 11:40

Tu es validé(e)

Bienvenue à Black Waters

Devant le grand Conseil tu es venu(e) et laisse-moi te dire une chose… L'âme de ton personnage entre désormais dans le monde de Black Waters. Les trompes chantent ta venue, comme si le paradis lui-même se présentait à toi, mais est-ce une bonne chose ? Tu le découvriras au cours de ton aventure dans les périples de cette ère nouvelle et nous espérons que tes choix influencent l'avenir tout comme le bon plaisir que nous aurions à te faire souffrir. 33

Cette plume, une infinie beauté qui manquait à mon cœur. Comme je suis heureuse de te revoir parmi nous, tu éveilles en nous cette envie de te relire encore et encore tel une œuvre parfaite et noire à la fois. J'ai bien hâte de voir ce personnage porté ces fruits parmi les rues de Black Waters.

Première chose une fois validé(e), nous te demanderont de remplir entièrement ton profil avec le lien vers ta fiche et ensuite le lien vers ta fiche de liens. Avant le jeu, il faudra que tu t'arrêtes dans le bottin des âmes, afin de t'assurer que ta tête est bien inscrite sur le registre d'Hadès sinon tu risques de retrouver un jumeau indésirable. S'il est déjà là, merci de ne pas commenter dans le sujet. Afin de te garder saint d'esprit (enfin… on espère plutôt trouver ta folie 31 ) nous te conseillons de faire un tour pour te trouver un cercle social et te trouver un toit espèce de SDF ! N'oublie pas de t'inscrire dans le registre des métiers si tu souhaites survivre, sinon je mangerai à ta place… C'est mes fesses qui en seront des plus heureuses.

Nous te souhaitons une belle aventure parmi nous et au plaisir de retrouver ta plume dans la section rpg.
admin - chien à trois têtes
Daevelyna I. Mora
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Je suis arrivé(e) à Black Waters le : 01/06/2016 . Je suis un(e) : Créature mythologique . On me dit souvent que je ressemble à : Ana De Armas . Je dois d'ailleurs remercier : Panda . J'ai transmis : 1024
16.04.20 11:40

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Devant le grand Conseil tu es venu(e) et laisse-moi te dire une chose… L'âme de ton personnage entre désormais dans le monde de Black Waters. Les trompes chantent ta venue, comme si le paradis lui-même se présentait à toi, mais est-ce une bonne chose ? Tu le découvriras au cours de ton aventure dans les périples de cette ère nouvelle et nous espérons que tes choix influencent l'avenir tout comme le bon plaisir que nous aurions à te faire souffrir.  33

Cette plume, une infinie beauté qui manquait à mon cœur. Comme je suis heureuse de te revoir parmi nous, tu éveilles en nous cette envie de te relire encore et encore tel une œuvre parfaite et noire à la fois. J'ai bien hâte de voir ce personnage porté ces fruits parmi les rues de Black Waters.

Première chose une fois validé(e), nous te demanderont de remplir entièrement ton profil avec le lien vers ta fiche et ensuite le lien vers ta fiche de liens. Avant le jeu, il faudra que tu t'arrêtes dans le bottin des âmes, afin de t'assurer que ta tête est bien inscrite sur le registre d'Hadès sinon tu risques de retrouver un jumeau indésirable. S'il est déjà là, merci de ne pas commenter dans le sujet. Afin de te garder saint d'esprit (enfin… on espère plutôt trouver ta folie 31 ) nous te conseillons de faire un tour pour te trouver un cercle social et te trouver un toit espèce de SDF ! N'oublie pas de t'inscrire dans le registre des métiers si tu souhaites survivre, sinon je mangerai à ta place… C'est mes fesses qui en seront des plus heureuses.

Nous te souhaitons une belle aventure parmi nous et au plaisir de retrouver ta plume dans la section rpg.
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