| 12.04.20 19:51 Siobhan GallagherI'm the violence in the pouring raincrédit avatar : avengedinchains. connaissance : Oui, et ça me tracasse constamment. âge : 34 ans allégeance : Envers tout les innocents, tout les citoyens ayant besoin de l'aide de la police. origines : Irlandaise. situation sentimentale : Célibataire orientation sexuelle : Bisexuelle quartier : Quartier Fitzwilliam arrivée à Black Waters : Il y a quelques mois, seulement. theme song : bad guy - billie eilish avatar : - Code:
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--><div><b>Sophia Bush</b> // Siobhan Gallagher // <a href="http://blackwaters.forumactif.com/u227">profil</a></div><!-- Caractère Ce que l’on remarquerait chez Siobhan, aux premiers abords, c’est qu’elle est très protectrice. Jamais la jeune femme ne laissera tomber ceux et celle qui lui ont été redevable et elle sera toujours présente pour leur prêter main forte. On peut compter sur son courage et son sang-froid quand il s’agit d’une situation particulièrement effrayante ou dangereuse. Elle est également dotée d’un grand humour, même si celui-ci peut paraitre parfois très cru. Cependant, l’un de ses grands défauts, c’est sa sensibilité. Elle a tendance à tout prendre personnellement, et elle s’attache beaucoup trop à chaque cas, chaque victime, chaque famille. Lorsque ses émotions sont trop vives, trop apparentes, elle se referme facilement, repoussant les gens autour d’elle. Qu’à cela ne tienne, elle est réellement épanouie dans son travail, n’essayant pas nécessairement d’obtenir un meilleur salaire ou un plus haut grade. Siobhan est simplement déterminée à bien faire son boulot, ce qui, en soit, n’est pas un problème. Cependant, quand ce besoin de perfection se mélange à une incapacité à oublier les enquêtes même une fois à la maison, c’est là que ça devient toxique. On pourra ainsi noter une nature rancunière, autant au niveau des gens qui lui ont fait défaut, que des criminels auxquels elle a fait face. La pauvre essaie du mieux qu’elle peut de ne pas exploser, comme elle le faisait auparavant, mais ce n’est pas une tâche facile pour quelqu’un d’aussi lié à ses émotions.
Particularités Pour une humaine très banale, Siobhan a quand même quelques particularités. Celle dont elle est probablement le plus fier, c’est sa connaissance de divers arts martiaux. Sa spécialité, ce sont les arts de défense, tel que krav maga, le karaté et le taekwondo. C’est sa façon de pouvoir se concentrer sur autre chose que ses problèmes personnels. Elle a encore à se parfaire dans les arts de combat, et aimerait pouvoir se tourner peut-être le yoga ou encore le tai-chi quand elle pourra enfin cesser de se brûler, mentalement parlant, à revisiter chaque enquête. Pour le moment, quand elle ne va pas se défouler dans ses entraînements, elle boit pour oublier un peu ses problèmes. Oh, la jeune femme n’en abuse jamais quand elle sait devoir entrer le lendemain au boulot. Cependant, quand elle sait avoir une journée ou deux de repos, c’est là se met à exagérer. Ce qu’il y a à savoir de plus? Eh bien chez elle, il y a et il y aura toujours un dossier sur sa table, une affaire classée non-résolue, qu’elle traîne depuis un certain temps. Et sur son épaule droite, il y a un petit tatouage d’un chat noir, un symbole de la personne envers qui elle a une dette à repayer, une promesse non-remplie. past lifeToute histoire à un début Mon enfance est imprégnée de banalités. S’attarder trop longtemps dessus causerait probablement des nausées. J’étais heureuse et épanouie, enfant, avec des parents très présents, quoique je ne voyais pas aussi souvent mon père, ses horaires étant disparates. C’est ça la vie de policier! Je ne le lui reprochais pas du tout, car à mes yeux, il était un héros. Quand on passait du temps ensemble, il me faisait toujours sourire. Et en grandissant, il m’enseigna peu à peu quelques trucs, notamment comment me défendre, comment réagir en cas d’urgence. Bon, il est vrai, cela n’avait rien de savant, surtout vu mon jeune âge à l’époque, mais je me sentais devenir une héroïne. Ma mère, elle, prônait toujours le calme, n’aimait pas nécessairement qu’on m’enseigne ce genre de trucs. La pauvre, je la plains encore aujourd’hui, quand j’y repense. Combien de fois ne me suis-je pas lancé du sofa en criant que j’allais sauver le monde? Les bleus se sont vites accumulés, c’est le cas de le dire. Qu’importe, j’avais le sourire aux lèvres, ne sentant pas nécessairement le poids de l’opinion des autres enfants. Et ça, … c’est un cadeau très précieux. En regardant de vieilles photos de moi, je souhaiterais sincèrement pouvoir remonter dans le temps et revivre cette légèreté d’esprit d’autrefois.
Mon adolescence ne fut pas aussi calme. C’est probablement le chapitre le plus difficile à me remémorer. C’est à mes 16 ans que je perdis mon père, lors d’un hold-up qui a mal viré. Il suffit d’un moment d’inattention de son collègue, et voilà que l’on reçu l’appel le plus éprouvant que j’ai jamais connu. Cette figure paternelle qui m’avait tant influencé, qui forgea mon caractère et ma force, le voilà parti. J’en voulu à tout le monde, je me renfermais sur moi-même, ne voulant écouter personne. Je vécus dans un silence morbide pendant presque un an, ne sachant pas quoi faire de ma vie, n’ayant plus mon père. Je me raccrochais à ma mère, mais elle aussi, devait passé par ce deuil. On ne réussit à reprendre une routine moins grisante que lorsqu’on déménagea, partant de Cork une fois pour toute, et arrivant à Dublin après ce qui me sembla être une éternité. Nouvelle ville, nouvelle vie, j’imagine! Au moins, en changeant d’air, on arriva enfin à fermer la porte et à se reconstruire. Cela me permit également d’en venir à une conclusion claire; je deviendrais policière. Que ce soit pour honorer mon père, ou pour continuer ce qu’il avait commencé, je porterais fièrement l’uniforme.
Mais celle-ci n'a pas encore de fin Je ne savais pas réellement dans quoi je m’étais engagée. Je ne peux cacher le fait qu’à certains moments, je regrettais d’avoir opté pour ce métier. Le chemin jusqu’à cette cérémonie ne se fit pas sans des manquements et des rappels de profs. Visiblement, mes méthodes étaient brusques et je répondais trop souvent par l’attaque. Il me fallut prendre beaucoup de recul, essayer d’analyser toutes les mises en situation qu’on me présenta en guise d’examens. À quelques reprises, je crus qu’on me dirait de quitter. Mais les sacrifices et les remises en question me permirent de finalement obtenir ce que je voulus. Enfin, me voilà plus près que jamais de mon but. Oh, mais c’est que je me précipitais rapidement! Je dû passer par les postes plus ingrats, ceux qui ne vous font pas nécessairement sentir comme une policière. C’est à peu près vers cette époque, quand je cumulais enfin les heures avec un badge à la main, que je me vis confrontée à une réalité hors-normes. Si je suis au courant du surnaturel, c’est réellement par pur hasard. Avant que ça ne me saute en plein visage, jamais je ne me douterais de l’existence de telles créatures. Mais à bien y repenser, c’était inévitable, en tant que policière. À être confronté aux gens, en général, je finirais probablement par croiser ou remarquer quelque chose d’étrange. Dans mon cas, c’est au cours d’une patrouille policière avec mon partenaire de la soirée que j’ai finalement été confronté à la vérité. Ce qui semblait être une soirée complètement normale devint rapidement un problème ingérable. La panique, des coups de feu en l’air et … un … loup. Je n’y croyais pas mes yeux. Là où, quelques minutes auparavant, il y avait un homme, maintenant, je voyais un … animal. Bien entendu, mon premier instinct fut de lui dire de s’arrêter et ensuite, d’appeler les secours. Cependant, il s’avéra tenace, ce … truc. Si ce n’était pas d’un supérieur au commissariat qui arriva exactement au bon moment, je crois qu’on ne s’en serait pas sortit en un morceau.
Après cette mésaventure marquante, je n’agis plus de la même façon. Je me réveillais en sueur, paniquée, et ce, à quelques reprises. Puis, je me mis à questionner tout ce que je croyais réel. Bientôt, je fus complètement accaparée par des enquêtes irrésolues, dont une qui me percuta de plein fouet. Un cas, une fille, une … amie. Mon dieu, Bridget! Son meurtre m’avait hanté des mois durant, peu après mon arrivée dans la police. Tant de questions, si peu de preuves … et on baissa finalement les bras. Serait-ce possible que sa mort soit due à une créature? Je n’en avais pas la certitude, mais je commençais à me poser des questions là-dessus. Ce que j’estimais être seulement une courte recherche s’avéra être une vraie chasse à l’homme, ou dans ce cas-ci, une chasse aux monstres. Je ne dormais presque plus, cela me zappait presque toute mon énergie, et quand je débarquais au boulot, mes collègues s’inquiétaient. L’inévitable arriva, alors qu’on me demanda de venir au bureau de mon chef. La nouvelle tomba, et une partie de moi ne fut aucunement surprise. On voulait que je cesse de me prendre autant la tête, et on estimait que malgré mon travail hors-pair, il serait mieux pour moi d’être mutée dans une plus petite ville que Dublin. On m’annonça donc que je devrais déménager à Black Waters, ou alors simplement laisser le badge et prendre du temps pour moi. J’optais pour le premier choix, ne me voyant pas me reposer alors que les criminels continuaient de roder les rues. Je fis mes valises et je quittais une fois de plus mon nid. Me voilà maintenant à Black Waters, une ville à l’allure très paisible, peut-être même un peu trop. Comment est-ce que je ferais mon boulot ici? Bordel, mais qu’est-ce que j’avais accepté, en venant ici? Seul l’avenir me le dira.
pseudonyme : dumbass*angel. âge : 28 ans. présence rp : 5 jours sur 7. comment as-tu trouvé le forum : C'est grâce à quelques membres déjà inscrit! <3. que penses-tu du forum : Le design est très sobre, mais également très mystérieux. Puis omg, l'Irlande! Je ne pouvais pas résister! ^-^ un mot à ajouter : Carole Baskin a tué son mari, j'en suis sûre ( #tigerking). |
| Daevelyna I. Moraadmin - chien à trois têtes Je suis arrivé(e) à Black Waters le : 01/06/2016 . Je suis un(e) : Créature mythologique . On me dit souvent que je ressemble à : Ana De Armas . Je dois d'ailleurs remercier : Panda . J'ai transmis : 1024 21.04.20 15:15 Tu es validé(e)Bienvenue à Black WatersDevant le grand Conseil tu es venu(e) et laisse-moi te dire une chose… L'âme de ton personnage entre désormais dans le monde de Black Waters. Les trompes chantent ta venue, comme si le paradis lui-même se présentait à toi, mais est-ce une bonne chose ? Tu le découvriras au cours de ton aventure dans les périples de cette ère nouvelle et nous espérons que tes choix influencent l'avenir tout comme le bon plaisir que nous aurions à te faire souffrir. NOTRE PREMIÈRE POLICIÈRE! Comme je suis heureuse de te revoir parmi nous et surtout, un personnage comme je les aimes. En espérant pouvoir RP avec toi cette fois et bienvenue dans ta nouvelle ville Première chose une fois validé(e), nous te demanderont de remplir entièrement ton profil avec le lien vers ta fiche et ensuite le lien vers ta fiche de liens. Avant le jeu, il faudra que tu t'arrêtes dans le bottin des âmes, afin de t'assurer que ta tête est bien inscrite sur le registre d'Hadès sinon tu risques de retrouver un jumeau indésirable. S'il est déjà là, merci de ne pas commenter dans le sujet. Afin de te garder saint d'esprit (enfin… on espère plutôt trouver ta folie ) nous te conseillons de faire un tour pour te trouver un cercle social et te trouver un toit espèce de SDF ! N'oublie pas de t'inscrire dans le registre des métiers si tu souhaites survivre, sinon je mangerai à ta place… C'est mes fesses qui en seront des plus heureuses. Nous te souhaitons une belle aventure parmi nous et au plaisir de retrouver ta plume dans la section rpg. |