| 12.04.20 19:10 Arya Infascellice soir, à nouveau, la vie me mord au coeurcrédit avatar : .cranberry groupe : métamorphe âge apparente : 22 ans âge réel : 22 ans rang : solitaire allégeance : // origines : gitan d'italie situation sentimentale : célibataire orientation sexuelle : bisexuelle quartier : bogside arrivée à Black Waters : tout récemment! avatar : - Code:
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--><div><b>bridget satterlee</b> // arya infascelli // <a href="http://blackwaters.forumactif.com/u224">profil</a></div><!-- Caractère sauvage Une jeune femme aux airs félins, qui ne se laissera pas apprivoiser si facilement. Un joli résumé très très raccourci de la belle Arya. Tentez donc de l’approcher, d’apprendre à la connaître, elle cache bel et bien un grand coeur derrière cette facette de grande indomptable. Sauvage, oh oui. Elle sait user de ses charmes, cette petite sauvageonne. Elle sait envoûter, elle sait s’amuser, et parfois même, elle sait s’attacher. peur de l’engagement L’enga.. quoi ? Oh non, pas ça. Il ne faut pas trop aimer, il ne faut pas trop construire avec quelqu’un. Trop peur, beaucoup trop peur, que tout tombe encore une fois. Il ne faut pas sombrer dans le chagrin, alors on se protège. On s’amuse par-ci par-là. Peut-être un jour, arrivera-t-elle à trouver la paix avec quelqu’un ? pudeur ? Voilà un mot qui n’entre pas dans son vocabulaire. Pourquoi être pudique ? Pourquoi se gêner ? D’autant plus quand on a un corps comme le sien, qu’elle entretient avec soin. Alors elle ose, et peut parfois être un peu trop maladroite avec les gens, ne prenant pas bien garde à leur pudeur à eux. instable Pourquoi vivre comme les autres quand on peut vivre toutes les émotions multipliées par cent ? Voilà une jeune femme qui vit des montagnes russes dans son coeur. Elle peut passer de la haine à l’amour en une fraction de seconde. Alors prenez garde à vous, ne provoquez pas la tempête déchaînée qu’elle a toujours été. caractérielle Gros, gros, caractère. Elle est franche, très franche, peut être un peu trop parfois. C’est vrai qu’elle peut être blessante parfois, mais elle est simplement maladroite. Elle ne veut pas de mal, elle n’est pas méchante, elle dit ce qu’elle a sur le coeur, voilà tout, elle est authentique. confiance Quand elle accorde sa confiance, il est important de ne pas la trahir. Arya est quelqu’un de très, très rancunier. Elle, ne se permettra jamais de trahir quelqu’un, car cela fait parti de ses principes qui lui tiennent à coeur. Alors, elle est à l’écoute, elle sera là pour vous conseiller sans jamais vous juger, elle est très ouverte d’esprit, ne vous en faite pas pour ça, et ne confiera jamais vos secrets à quelqu’un d’autre. sportive Arya est une femme qui n’aime pas rester en place. Elle ne supportera pas de flemmasser trop longtemps. Il faut qu’elle bouge. Que ce soit pour aller courir, à la salle, pourquoi pas s’essayer à l’escalade. Elle adore se lancer de nouveaux défis et peut-être, vous entraînera dans l’une de ses nouvelles folies.
Particularitésmessager de la forêt des esprits Des pattes épaisses aux poils sombres où l’on peut pourtant, distinguer de nombreuses rosettes. L’on peut remarquer au bout, de longues griffes rétractables, caractéristiques des félidés. Un poil ras, une mâchoire puissante, de petites oreilles rondes trônant aux dessus de deux perles d’ambres habilité à l’obscurité. Une musculature imposante et pourtant un corps loin d’être dénué de lesteté. Une grande faculté à grimper n’importe où, à se déplacer en silence, à chasser d’imposant reptile. Voilà tout l’envers du décor, voilà qui est vraiment Arya, un jaguar qui manque de mélanine. past lifemy world L’Italie. Quel pays sublime, aux paysages magnifiques, aux monuments historiques spectaculaires, aux habitants expressifs à la voix chantante, roucoulante, aux célèbres plats de pâtes et pizzas, sans oublier évidemment, sa tristement connue mafia. Ici, de grandes vallées verdoyantes, par là, un village aux maisons des plus colorés, de l’autre côté, une eau turquoise où voguent diverses gondoles. Un pays gorgé d’histoire avec un peuple tenant à ses traditions et sa culture, pouvons nous dire, très patriote. welcome sweety Tendez l’oreille, approchez-vous, qu’entendez vous dans cette clairière éclairée, où plusieurs caravanes sont postées ? Ce sont les cris, les hurlements de douleurs, d’une mère qui met au monde, entre tous les chahuts des tziganes festifs et joyeux. Vingt-deux heures. Presque un jour entier. C’est ce qu’il a fallu pour pouvoir enfin découvrir le frêle nourrisson aux quelques cheveux châtains postés sur sa tête. Arya, c’est comme ça qu’ils ont décidé de la nommer. Et ils festoyèrent, toute la nuit, ils festoyèrent à son arrivée parmi eux, sans s’accorder de répit. Ils festoyèrent d’une façon peu commune, parce que ce sont des tziganes peu communs. Alors, toute la nuit, ce ne sont pas des hommes qui se sont retrouvés autour d’un festin, mais des animaux. Des félins, des canidés, des équidés, des oiseaux… En voilà une drôle de famille. roar Dès le plus jeune âge, la « mignonne » petite fille a commencé à montrer tout son côté sauvage, n’hésitant pas à hurler, à pleurer, à tambouriner le sol ou tout ce qu’elle trouvait, pour exprimer sa contrariété. Et pourtant jamais on ne cédait à ses caprices, à vrai dire c’est pas comme s’ils pouvaient se le permettre. Mais jamais elle se décidait à arrêter d’en faire. C’était simplement sa manière de s’exprimer, et pour sûr, jamais on ne lui a dit de changer. Alors on la laissait crier, on la laissait développer son petit caractère indépendamment. not my friend Bien que vivant dans une famille de changelin vagabond, il était important aux yeux de ses parents qu’elle puisse suivre une scolarité à peu près normal. Alors il était temps pour la petite Arya de se diriger dans une école pour suivre ses tout premiers cours, et pour se faire des amis hors de la petite troupe tzigane. Bien que d’apparence toujours aussi douce et mignonne, son caractère ne s’était toujours pas radouci. Elle n’était pas méchante pour autant, simplement très sincère depuis bien longtemps. Mais après tout, ce n’était qu’une enfant, peut-on vraiment lui en vouloir ? Pas d’un œil adulte, mais pour un autre enfant, voilà chose moins aisée. Arya ne faisait pas partie de ces petits qui jouaient tous ensemble mais ça lui allait très bien. De toute manière, aucun n’était comme elle, et ses proches lui suffisaient. we were the ones, the king and queen Bientôt cinq ans que la petite sauvageonne est venue au monde que ses deux parents ont décidé d’en faire un deuxième. Les cris, les halètements, rebelote, un peu moins d’une vingtaine d’heures de labeur cette fois-ci. Une nuit de fête, encore, pendant que la petite est au lit. La famille s’agrandit. Mais cette fois-ci nous n’avons pas affaire à une vraie petite lionne turbulente, mais plutôt un mignon petit chaton bien calme et doux. Luca. Voilà le nom du petit dernier qui ne manquera pas d’être aimé. Arya avait enfin trouvé un ami, et elle ne comptait laisser personne lui faire du mal. Ils étaient inséparables. Sa naissance avait permis à la petite de mûrir un peu, d’apprendre à être plus douce, plus patiente, plus à l’écoute, mais pourtant, elle était toujours aussi gueularde. listen and learn L’école n’intéressait pas la jeune, ça, c’est sûr. Elle n’avait pas suffisamment de patience pour apprendre quelque chose qui ne la concernait pas directement ou dans lequel elle n’y trouvait pas grand intérêt dans la vie future. Evidemment, elle était bien obligée d’apprendre un minimum ses leçons. C’était donc une élève moyenne, avec des notes moyennes, qui était bien plus intéressée par ce qui se passer derrière la fenêtre plutôt que de regarder le tableau. Mais voilà quelque chose de bien plus intéressant : son père, sa mère, et toute cette famille que formaient les changelins avec qui elle vivait, qui étaient toujours là pour lui conter les histoires de leur espèce, mais aussi de toutes les autres. En voilà un cours, bien plus intéressant et utile. we ruled the world Elle n’avait que douze ans. Douze ans seulement, et déjà le coeur brisé. On a décidé de lui arracher, l’être le plus cher à ses yeux. Son petit frère. Pourquoi ? Pourquoi avoir arraché de sa famille, un petit garçon, de sept ans tout juste ? Parce que certains humains sont mauvais, et les attaques contre les tziganes – même ceux qui n’étaient pas des métamorphes, tout simplement parce qu’ils venaient d’ailleurs – étaient assez fréquentes en Italie. Des camps brûlés, des volontés de les virer du pays, sans grande raison. Alors cette fois-ci, ils ont décidé de prendre avec eux, ce pauvre petit ange, lors d’une balade en forêt avec sa sœur. Il n’a fallu que dix minutes, dix petites minutes d’inattention, pour le perdre. Et pourtant, elle l’a cherché. Elle a couru, sans cesse. Elle a crié son nom, fouillée de fond en comble les environs, sans jamais pouvoir retrouver sa trace. Comment revenir à son camp, sans lui ? Comment pouvait-elle expliquer ça à ses parents ? Les émotions la prirent à la gorge, puis, elle s’écroula. Elle était en train de changer, elle n’était plus elle même. Quoi que, elle devenait peut-être, pour la première fois, qui elle était vraiment. Elle savait bien ce qu’il se passait. Ses os craquaient, ses muscles se déformaient puis reformaient, pourtant, elle ne souffrait guère. Elle aurait alors, peut être préféré ne jamais vivre ce qu’elle attendait depuis petite. Elle resta allongée quelques minutes, secouée par les événements récents, à la quête de force pour se redresser enfin. Mais elle ne pouvait pas rester là, à se laisser dépérir seule. Il fallait qu’elle rentre. Il fallait qu’elle se découvre. Il fallait qu’elle retrouve son petit frère. Alors, un petit coup d’oeil sur.. de grosses pattes imposantes qui étaient désormais siennes. Brunes, tachetées de rosettes, des griffes rétractable. Tiens donc, un félin, est-ce vraiment étonnant ? Elle s’en alla jusqu’au ruisseau le plus proche pour finalement découvrir ses yeux ambrés, sa large mâchoire, ses petites oreilles rondes. Un jaguar. Voilà qui elle était. why did you do that Il était temps. Il était temps de rentrer, et d’annoncer la plus atroce des nouvelles à sa famille. Evidemment, on peut se dire que n’importe quel parent, dans une telle situation, aurait pris la petite déboussolée dans ses bras. Mais à l’entente d’une telle annonce, ils étaient plus déboussolés encore. Tous deux fondirent en larmes, avant d’exploser. Des torrents de cris, de hurlements, tu devais le surveiller, tu en étais responsable, tout est de ta faute. Des mots qui ne cesseront de tournoyer dans sa tête, tant qu’elle n’aura pas trouvé le fin mot de l’histoire. i’m here for you Une mère qui, suite à la disparition de son jeune fils, sombra dans la dépression, se laissant dépérir, perdue dans l’anorexie, direction l’hôpital, il faut se faire soigner. Une tension palpable entre un père et sa fille qui ont trop perdu. Trop de silence, trop de tabous. Une pauvre petite fille, qui ne sait plus quoi faire, qui a perdu tout ce qu’elle avait de plus cher, et qui ne s’est plus trop où elle en est avec sa récente transformation, malgré tout ce qu’on a pu lui dire. Perdue, complètement paumée, jusqu’à ce qu’un homme qui vivait dans le camp lui aussi, mais qui pourtant n’avait aucun lien de sang avec qui que ce soit, la pris sous son aile. Mais les tziganes sont une grande famille. Il lui appris alors, tout ce qu’elle devait savoir, il l’aida à apprendre à se contrôler, à gérer les émotions qui se déchaînaient dans sa poitrine. Il lui expliqua que le chagrin avait emporté ses parents, et qu’elle ne devait pas le laisser gagner à son tour. Ils reprirent tous la route, continuant à vagabonder, ne restant plus aussi longtemps qu’avant à la même position. L’Italie avait bien changé et avait fait comprendre sa volonté de nuire à leur peuple. time to go Bientôt onze ans que son frère à disparu. Les relations entre parents et fille se dégradent toujours plus. Le chagrin ronge les gens. Les gens s’acharnent contre les tziganes. Plus, toujours plus. Elle ne pouvait plus. Elle ne pouvait plus supporter tout ça, toute cette pression, il fallait partir. Et depuis quelques années déjà, elle avait bien préparé son plan, à l’aide de celui qui l’avait aidé depuis que son coeur s’est effondré. Elle a économisé, elle a appris des langues, elle savait désormais parler, en plus de l’italien, anglais, et se débrouillait plus ou moins en français. Le jour était venu. Juin deux mille vingt. Deux mois avant ses vingt-trois ans. Sous les directions de son mentor, elle partit en France, rejoindre une connaissance à lui. Après quelques jours passés à ses côtés, il lui conseilla une ville paisible, au sud de l’Irlande, pour y commencer une nouvelle vie : black waters.pseudonyme : akkiten âge : la majorité en juillet! présence rp : je devrais être assez régulière étant donné les circonstances actuelles et si les cours reprennent je serais un peu moins présentes mais j'essaierai d'être dispo ou je préviendrais ! comment as-tu trouvé le forum : j'étais sur ross creek avec "Arya Roseburry" (je l'ai repris en faisant quelques modif mais gardant le principal) et Kieran est venue me contacter sur discord ! que penses-tu du forum : il est vraiment magnifique, hyper agréable à lire etc, et ce genre de rp me plaît énormément! un mot à ajouter : hâte de pouvoir rp avec vous tous! |