| 09.04.20 13:56 Connor MurtaghWhen you close your eyes, what do you see? Do you hold the light or is darkness underneath? In your hands, there's a touch that can heal But in those same hands, is the power to killcrédit avatar : avengedinchains. groupe : créature recrachée des Enfers, esclave de l'astre sélénite ; des griffes et crocs mortels, un pelage de ténèbres, Murtagh est un représentant de la race Lycanthrope. âge apparent : quarante deux ans qu'exhibe la chair à travers les sillons, et le poil grisonnant. âge réel : tout autant rang : gros bêta, satisfait de son rang. Murtagh n'a pas le tempérament d'un leader, et encore moins les ambitions. Trop solitaire, trop renfermé, des coups de sang qui le desservent encore parfois. allégeance : loyal envers les siens et surtout son alpha. (meute de remus) origines : irlandais pur, bien qu'il ignore tout de son géniteur ; des ancêtres lointains étaient originaires de l'île de Man. situation sentimentale : Officiellement célibataire. Épris pourtant du feu qui danse autour de ses épaules ; le myocarde s'éveille au toucher d'une sorcière. Lui n'en dirait pas tant. orientation sexuelle : gourmand des courbes féminines, seulement. Les amantes s’amoncellent sous les reins véhéments, puisqu’il faut bien assouvir ses pulsions. quartier : Fitzwilliam. Une cabane annexée à la propriété Murtagh, bâtie avec ses frères. Un chalet confortable et solide en vérité, à distance égale de la plage et la forêt. arrivée à Black Waters : Il y est né. theme song : Zayde Wølf, Man or a monster ; ( playlist) avatar : - Code:
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--><div><b>Tom Hardy</b> // connor murtagh // <a href="http://blackwaters.forumactif.com/u219">profil</a></div><!-- Caractère Loyal ; puisqu’après tout, Connor doit sa vie à des gens qui n’ont jamais rien demandé en retour. Abandonné enfant, aussitôt recueilli, il a toujours suivi les enseignements de cet homme qui a fait de lui son fils, et s’est efforcé de le rendre fier. La loyauté fait partie des valeurs inculquées au gamin, et aujourd’hui adulte, il tient ses engagements. Les Murtagh ou la meute, le loup ne voit qu’une grande famille ; inutile de s’attendre à le voir la trahir.
Faux-calme ; la faute à l’animal, sûrement. Plus jeune, Connor était fougueux, impulsif et sanguin. La maîtrise est venue au fil du temps et des rappels à l’ordre. Le visage impassible et son flegme apparent dissimulent le cruor bouillonnant dans ses veines. Il sait être patient et un regard suffit souvent à dissuader les importuns ; on dit que le charisme de la bête se lit dans les prunelles de l’homme. Mais quand la limite est atteinte, la violence est souveraine et l’excès son consort. Poussé à bout, le prédateur sait se montrer cruel et implacable, et ses écarts spectaculaires.
Solitaire ; bien qu’entouré, l’homme tend à s’isoler pour se retrouver seul avec lui-même. La meute et sa fratrie font beaucoup à gérer ; parfois, il a besoin d’espace et de quiétude. Cela se ressent dans ses choix de vie et dans ses habitudes. Connor vit seul depuis qu’il a vingt ans. Les balades en forêt sont son lot quotidien ; pour apaiser la bête et l’homme, la plage et le port sont aussi des alliés fidèles.
Taciturne ; vous le ferez difficilement entrer dans votre jeu et parler de la pluie et du beau temps. Connor use de paroles à bon escient ; il n’est pas non plus très doué pour écouter les autres et préfère le silence aux discours quels qu’ils soient. Souvent qualifié de grognon, il peut se montrer lunatique - tiens donc - voire irascible au gré de ses humeurs. Pourtant, Connor n’est pas mauvais et sa compagnie peut également se faire plus agréable.
Méfiant ; prudence est mère de sûreté. Connor n’abaisse pas ses défenses à la légère. Il convient de gagner sa confiance pour voir l’homme partager et parfois se confier. Un exercice qui reste difficile, même avec les gens qui lui sont le plus proche. La défiance est de mise avec les inconnus, et le lycan a le soupçon facile. Juste et droit bien que sévère parfois, il n’aime pas les gens pervers et manipulateurs et s’en tient éloigné le plus possible.
Protecteur ; indépendamment du loup, l’homme a su développer son instinct protecteur. D’un naturel bienveillant malgré son détachement, Connor sait veiller sur les siens sans pour autant devenir envahissant. Pilier et défenseur, il n’hésite jamais à se mouiller pour les autres quand il le croit nécessaire. Pour peu qu’on le connaisse et qu’on lui fasse confiance, son aura rassurante fait de lui un soutien sans conteste.
ParticularitésMeute de Remus ; Connor a fait son choix sitôt la scission opérée. Les valeurs du vieux Walsh n’ont jamais été proches des siennes. S’il a délaissé sa famille un temps pour rejoindre la meute et s’accorder à sa vision, suivre Cillian et défendre ses idéaux à ses côtés a été sa meilleure décision. Il ne regrette rien, et referait ce choix cent fois s’il le fallait. Même s’il est plus méfiant envers les autres créatures, sa liberté lui importe et après tout, ses proches sont des humains...
Balafré ; la cicatrice traverse la paupière et son oeil gauche depuis quelques années maintenant. Il semble qu’une lame ait tranché la chair vive sans pour autant parvenir à atteindre l’organe. Connor demeure muet quant à la provenance de l’entaille. Il dit parfois en plaisantant que c’est pour se faire plus effrayant qu’il ne l’est.
Tatoué ; avec réserve à l’encre noire, l’argent brûlant la chair pour graver sous sa peau des souvenirs et des messages, il arbore ces dessins avec fierté.
Directeur de la distillerie Murtagh ; il y a à peine quelques semaines, Connor a hérité de sa gestion. Il succède à son père, décédé brutalement, après lui avoir fait la promesse de reprendre l’affaire. La distillerie locale a permis aux Murtagh de prospérer durant plusieurs générations. Le loup-garou se fait doucement à ses nouvelles responsabilités même s’il ne pensait pas avoir l’étoffe d’un gérant. Le whisky coule à flots et les finances se portent bien. past lifeSon costume était sombre. D’un noir d’encre comme il en portait rarement, et le reste de sa tenue suivait. La cravate élégante, les Alden à ses pieds ; seule la chemise blanche sous le veston serré venait trancher à vif ce sinistre portrait. En songeant qu’il devrait en faire une habitude, puisque les affaires l’exigeaient, Connor délia le nœud qui enlaçait sa gorge et grimaça.
Libre, le loup prit appui au comptoir et croisa son reflet sous les néons du bar, à travers le miroir qui le lui renvoyait. Sa mine était blafarde. La barbe grisonnante ne cachait plus ses traits marqués et le temps qui creusait l’épiderme. Son œil gauche exhibant la balafre taillée des années en arrière, il faisait presque peur. L’expression renfrognée et revêche de son visage impénétrable s’allégea quand on lui tapa sur l’épaule.
« A quoi tu penses, mon frère ? » Niall était décidément le moins subtil de la fratrie. Il occupa d'abord le tabouret qui trônait près de lui ; puis, d’un geste vif, il fit glisser vers eux deux verres plein de whisky que leur cadet faisait passer depuis l’autre côté. Il servait sa tournée aux Murtagh - l’établissement privatisé pour la soirée leur était réservé. « A lui », marmonna le lycan dans sa barbe cendrée. Aux années traversées. Aux épreuves endurées. A la bonté d’un homme qui avait fait de lui son successeur, après l’avoir élevé comme son tout premier fils.
Niall réitéra son accolade, et Connor, comme à son habitude, répondit d’un grognement sourd. Il attrapa son verre, respira les effluves, reconnaissant la cuvée familiale. La distillerie locale profitait aux Murtagh depuis quatre générations. Leur père - paix à son âme - était le dernier directeur. Un homme brave, à la fois plein d’amour et de sagesse, malgré un sens aiguisé des affaires. Connor doutait d’avoir hérité ses talents de gestionnaire. Mais pour honorer sa mémoire, il s’était promis de faire de son mieux.
« Il a eu une belle vie. Quelques drames, comme tout le monde. Et il était heureux. Slainte ». L’aîné brandit son verre pour rendre un hommage au défunt. Puis il porta la boisson à ses lippes, toujours en première ligne pour s’arroser la panse. Combien de rixes avait-il déclenché ici-même, dans ce bar, sous l’emprise de l’alcool ? Connor ne comptait plus les fois où il s’était interposé pour lui sauver la couenne. Et bien qu’héritier légitime de la famille Murtagh, Niall n’avait pas les épaules pour reprendre la distillerie. Il enchaînait les bières et le whisky du matin jusque tard dans la nuit ; et s’ils les tenaient bien, il ne restait qu’un homme…
Niall n’était pas rancunier. Il n’en voulait pas à Connor, ni à son père. Il savait ce qu’il valait ; qu’à ce poste, il aurait tout perdu. Sanguin mais brave, il faisait de la peine à ceux qui le connaissaient bien. « Je me rappellerai toujours de ta mère à la ferme. Comment elle est arrivée là, trempée, avec son polichinelle dans l’tiroir ». Le loup tendit l’oreille, tandis que ses frères et sa sœur baissaient la tête en souriant. Cent fois, ils avaient entendu cette histoire. Malgré leur peine, ces souvenirs remémorés et la fantaisie de l’aîné leur réchauffait le cœur. Ils s'en moquaient avec tendresse, mais c'était le partage des anecdotes et de la Vérité qui maintenait leur lien et qui les unissait. Ils ne se cachaient rien. Et bien qu'humains, tous les Murtagh connaissaient la nature de leur frère adopté.
« J’étais gamin, ouais ». Niall renifla bruyamment. Il but encore, puis se tourna vers l’assemblée tandis que d’une main libre, il désignait Connor. « Elle a pondu çui-là sur l’parquet du salon. J’aurais dû retourner dormir plutôt que d’observer par l’escalier, mais déjà à l’époque, j’étais pas très obéissant ». Il éclata d’un rire gras et tremblant. « Elle est restée quelques jours avant de se tailler. Et elle l’a laissé là. Il était tellement p’tit. On aurait dit un rat ». Ses frères et soeur se mirent à rire aussi. Depuis, Connor avait grandi et sa carrure n’était plus celle d’un chérubin. Il n’était pas très grand mais sa musculature plaçait quiconque lui parlait dans son ombre. Il rassurait les femmes et dissuadait les hommes. « Le vieux l’a gardé avec nous. J’crois qu’il était amoureux ou quelque chose comme ça ». L’aîné fouilla la poche de son veston et extirpa une cigarette, ainsi qu’un vieux zippo. Il embrasa l'extrémité et repoussa du revers de la main les quelques cendres éparpillées sur le comptoir. L’émotion se lisait sur son visage, mais quand il contait ce récit, on n’arrivait jamais vraiment à voir si cette version de lui enfant avait bien vécu l’arrivée de l’orphelin dans son cocon déjà réduit.
La mère de Niall avait été la première épousée du vieux Murtagh. Elle était morte en couche, et il avait élevé seul leur garçon. Quand Niall avait 6 ans, cette louve avait débarqué de nulle part et donné naissance à Connor sur la propriété Murtagh. Le vieux était plus ou moins tombé sous son charme. Et il avait du coeur, peut-être trop. Sans rien savoir ou presque de l’étrangère, il avait fait de sa progéniture la sienne. Il s’était remarié ensuite, avec une autre femme, et avait eu d’autres enfants. Ceux qui entouraient Connor et Niall ce soir dans le bar familial après l’inhumation.
« Le ressert pas, d’accord ? Il a assez bu comme ça ». Le loup-garou se redressa, ses doigts se refermant sur la nuque de son frère, tandis qu’il s’adressait à leur cadet. Le plus jeune acquiesça et Niall se mit à protester. Sa voix résonna dans le pub, accompagnée de nouveaux rires et de railleries diverses.
Connor était chez lui, au beau milieu des siens, mais les mots qui le concernaient le mettaient mal à l’aise. Il finissait toujours par s’écarter et prétexter un besoin de prendre l’air. Cette fois ne fit pas exception. Il traversa le bar, s’approcha de sa soeur, et effleura sa joue encore baignée de larmes. Ses frères n’eurent droit qu’à un regard tandis qu’il prétendait revenir d’ici quelques instants. Il emprunta la sortie de réserve, et se hissa sur le balcon qui dominait la plaine et la forêt au loin. Penché sur la rambarde, il repensa aux histoires de son frère, à sa mère qui l’avait abandonné, et à son triste sort quelques années plus tard. Il n’avait jamais su d’où elle venait ni pourquoi elle avait fui sa meute avant d'atterrir à Black Waters et d’y accoucher. Par peur de ce qui adviendrait lui, et pour être certaine de s’y faire accepter, elle l’avait laissé aux Murtagh pour rejoindre les Walsh et intégrer la meute. Elle n’avait approché son fils que des années plus tard, l’accompagnant pour sa première transformation, et lui avait appris à la connaître ainsi. Il n’avait jamais vraiment réussi à s’attacher à elle ; ni même à l’apprécier. Et aujourd’hui, elle n’était plus de ce monde. Jamais il n’avait ressenti ce manque, ce trou béant au creux de sa poitrine que la mort de son père adoptif continuait de creuser.
Connor huma l’air de la nuit. La lune s’élevait dans le ciel rubescent, encore loin d’être pleine. Les ombres vagabondes se trémoussaient lentement au rythme de la brise d’été. Les prunelles acérées distinguaient les nuances, devinaient les contours, et la faune pullulant aux alentours de Black Waters. Connor n’était pas le seul monstre à sillonner les territoires humains. Les autres s’agitaient, il pouvait le sentir. L’instinct du loup discernait les questions, les doutes et la panique dans l’air ambiant depuis le tremblement. Lui ne savait quoi en penser, mais il avait une meute, et une famille bancale à protéger.
Même dénouée, sa cravate l’étouffait. Le loup la fit glisser sur son col libéré, et la laissa tomber sur les lames du balcon. D’un geste vif, puissant, il desserra les pans de sa chemise et le veston qui lui donnaient cette impression de suffoquer. Quand il releva les yeux, calmé, son regard agrippa au loin une silhouette familière. Deux pupilles éclairées dans la nuit, d’un éclat aveuglant, qui semble-t-il le contemplaient. Connor fixa l’animal en retour - cabot trapu au pelage noir et feu, et inclina la tête. Comme s’il le remerciait. Son père avait sûrement franchi la ligne de l’Autre Monde depuis des jours, mais la présence du canin psychopompe lui signifiait que son devoir était désormais accompli. Daevelyna l’avait escorté en personne.
Connor hésita à sauter la rambarde et à se transformer pour la rejoindre. La simple idée de retourner à l’intérieur lui nouait l’estomac. Il ne voulait plus écouter, et encore moins parler ; seulement laisser sa bête se dégourdir les pattes, et l’éventualité d’une échappée nocturne lui sembla séduisante. Une impulsion et il serait en bas.
Une vibration perturba néanmoins l’intention. Son téléphone se mit à résonner, et Connor l’extirpa de sa poche aussitôt. Le nom associé au message insuffla à son être une sensation étrange. Une chaleur délectable qui apaisait la bête et l’homme, et à laquelle il commençait à s’habituer. Au point qu’elle lui avait manqué tout le jour, et aussi ceux d’avant.
Quand il releva la tête, le Cerbère avait disparu. Mais la décision prise, Connor retourna dans le bar, le temps de dire au revoir à sa fratrie plutôt que de partir comme un sauvage. Une autre nuit, il resterait à leurs côtés, mais pas celle-ci.
Et sans regret, il franchit le pas de la porte ; traversa les croisées, les rues, à pied. Pour retrouver la femme du téléphone.
pseudonyme : terton. âge : la vieillesse mes amis. présence rp : 1x par quinzaine. comment as-tu trouvé le forum : en cliquant de partenariat en partenariat. que penses-tu du forum : comme je disais en cb, ça fait bien 3, 4 ans voire plus que je n’avais pas été séduite par un forum de ce type ; vous avez ravi mon coeur en quelques lignes un mot à ajouter : jvous aime déjà |
| Daevelyna I. Moraadmin - chien à trois têtes Je suis arrivé(e) à Black Waters le : 01/06/2016 . Je suis un(e) : Créature mythologique . On me dit souvent que je ressemble à : Ana De Armas . Je dois d'ailleurs remercier : Panda . J'ai transmis : 1024 17.04.20 12:35 Tu es validé(e)Bienvenue à Black WatersDevant le grand Conseil tu es venu(e) et laisse-moi te dire une chose… L'âme de ton personnage entre désormais dans le monde de Black Waters. Les trompes chantent ta venue, comme si le paradis lui-même se présentait à toi, mais est-ce une bonne chose ? Tu le découvriras au cours de ton aventure dans les périples de cette ère nouvelle et nous espérons que tes choix influencent l'avenir tout comme le bon plaisir que nous aurions à te faire souffrir. Un magnifique personnage avec des zones d'ombres, comme je les aimes. J'adore cette plume ainsi que le petit clin d'oeil avec notre lien. Voir ce personnage sur le plan du jeu sera un vrai délice je le sens hihi Première chose une fois validé(e), nous te demanderont de remplir entièrement ton profil avec le lien vers ta fiche et ensuite le lien vers ta fiche de liens. Avant le jeu, il faudra que tu t'arrêtes dans le bottin des âmes, afin de t'assurer que ta tête est bien inscrite sur le registre d'Hadès sinon tu risques de retrouver un jumeau indésirable. S'il est déjà là, merci de ne pas commenter dans le sujet. Afin de te garder saint d'esprit (enfin… on espère plutôt trouver ta folie ) nous te conseillons de faire un tour pour te trouver un cercle social et te trouver un toit espèce de SDF ! N'oublie pas de t'inscrire dans le registre des métiers si tu souhaites survivre, sinon je mangerai à ta place… C'est mes fesses qui en seront des plus heureuses. Nous te souhaitons une belle aventure parmi nous et au plaisir de retrouver ta plume dans la section rpg. |